Je renoncerai pas à te faire entrer dans la caboche que le temps peut être immuable, si on examine tout avec logique et son propre filtre alimenté par ses propres croyances, vient un temps, si la sagesse et le regard vers l'extérieur est toujours également préservé, ainsi que vers la réalité non-objectivable forcément (toujours se laisser surprendre par la magie, c'est very important sinon on vire à la psycho-rigidité et l'obsession) où l'on se rend compte que les évènements se reproduisent pour valider ou invalider. Sans perdre de cette acuïté critique, l'on peut continuer à poser les questions qui nous agitent les molécules et obtenir des réponses à condition de ne pas changer de ligne de pensée.
L'examen de ces micro-portions de temps qui se heurtent permettent de savoir si l'on doit s'ouvrir ou non à l'influence. Car évidemment l'on est influencé si l'on veut se placer dans l'axe de la création afin d'outrepasser une phase de réceptivité. Pour cela, il faut mouvoir son corps dans l'espace, considérer que l'espace géométrique n'est pas immuable et qu'il est nourri par le temps. Cette unité retrouvée va permettre "d'obtenir" ou permettre de "mûrir" et de toutes les façons de "créer". C'est tout de même simple!!!
D'ailleurs une fois les choses rendues complexes, on doit recourir à l'humilité qui permet la concentration et évite la dispersation et l'échauffement des viscères ainsi que des pensées.
Je plaisante à peine, c'est une façon de tourner tout cela sans que ça vire dans du new-age de mauvais aloi. Shake your body. Open your mind'a and stay away. A la revoyure.
Acceptation sera le mot de base de notre méditation ashkanique du jour.
J'autorise la mise dans le bêtisier de ce délire.