Elle sent la damnation.
La damnation immobile fixant ses yeux vides.
Elle tournoie, danse macabre d’un jour funeste,
Il tournoie, vieil arbre d’une vie rupestre.
Ils festoient, le cercle du feu purificateur
Les nettoie. Une foule, un danger, quelque chose les menace,
Peut-être du bien. Oui du bien, c’est le bonheur qui les guette.
C’est lui qui gronde dans le lointain, lui qui se repaît de ce décadent spectacle.
Les bras, les jambes, leurs membres gambillent. Où courent-ils ?
Il fuient. Il leur fait peur : « NON, on ne veux pas de toi, va-t-en, nous n’aimons pas les étrangers ! ».
Leur algie plus sereine que ce bonheur tumultueux.
Pendant qu’elle danse au dessus d’eux, il passe en dessous et ne revint pas.
Symmaque